Le Rosaire et les anges.
Le Rosaire et les anges.
« Toutes les fois que, par la récitation du Rosaire de Marie, nous méditons les mystères de notre salut, nous imitons en quelque manière la fonction très sainte confiée jadis à la milice céleste des anges » (Léon XIII, encyclique Augustissimæ Virginis, 12 septembre 1897). (lire la suite)Le Rosaire et la pénitence
Parmi la pratique des vertus que la foi réclame « se trouve la pénitence, qui comprend elle-même l'abstinence, vertu nécessaire, à plus d'un titre et très efficace. Si l'Église, sur ce point, se montre de jour en jour plus clémente envers ses enfants, que ceux-ci, en retour, comprennent qu'ils doivent s'ingénier à compenser par d'autres œuvres cette indulgence maternelle. Dans ce but, il est bon de proposer en premier lieu la dévotion du Rosaire, qui peut également produire de bons fruits de pénitence, surtout par la méditation des souffrances du Christ et de sa Mère » (Léon XIII, encyclique Fidentem piumque, 20 septembre 1896).
Le Rosaire et les prêtres.
« Cette dévotion au Rosaire semble être propre aux prêtres. Nous leur proposons l'exemple de saint Jean-Baptiste Vianney, le curé d'Ars, (...) égrenant avec une profonde piété son chapelet entre ses doigts. Puissent les prêtres trouver là un encouragement pour parvenir à une sainteté digne de leur charge : de cette charge que Dieu nous a confiée de travailler au salut des âmes » (Jean XXIII, Lettre apostolique Œcumenicum Concilium, 28 avril 1962).
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