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dimanche 15 septembre 2013

Les plans de Dieu (9)

Les plans de Dieu (9)

Mon Dieu, je vois combien « ils te sont chers aussi, les peuples ; tous leurs saints, tu les protèges ; et eux se sont couchés à tes pieds, ont recueilli ta propre parole ! » (Deutéronome 33, 3), comme Marie de Béthanie, qui n’avait d’yeux et d’ouïe que pour la Parole divine qui sortait des lèvres de Jésus de Nazareth. Une parole qui transportait d’aise, qui mettait en contact direct avec toi, mon Dieu, qui présentait un panorama encourageant et optimiste pour la vie quotidienne. Qui donc chantera les merveilles que tu as réalisées pour ton peuple ? « Tu es sorti pour sauver ton peuple, pour sauver ton Messie. Tu as écrasé la tête de la Maison de l’impie, mis à nu ses fondements, jusqu’au cou ! » (Habacuc 3, 13). J’avais annoncé cet écrasement dans les temps anciens, à vos premiers parents. Je l’avais prédit, venant de la femme. Voilà qui est accompli désormais. « C’est moi, c’est moi qui suis le Seigneur : en dehors de moi, il n’est pas de Sauveur » (Isaïe 43, 11). (lire la suite) Oui, je confesse que « le salut n’est en nul autre ; car aucun autre Nom sous le ciel n’a été donné aux hommes par lequel nous puissions être sauvés » (Apocalypse 4, 12). Ah ! mon Dieu ! grande est ta bonté. Tu peux nous déclarer, avec Isaïe : « Je me suis laissé trouver par ceux qui ne me cherchaient pas, je me suis manifesté à ceux qui ne m’interrogeaient pas » (Romains 10, 20). Ne t’ai-je pas dit que je sors toujours à la rencontre de ma brebis perdue ? Suis-je ou ne suis-je pas ton Père ? Certes. Mais il me souvient de ce que tu as dit aux Juifs après le retour des explorateurs envoyés par Moïse prendre contact avec la terre que tu leur avait promise, la « Terre promise », alors qu’ils se mirent à dénigrer ce pays où coulaient le miel et le lait à profusion (Exode 3, 8). Tu as prononcé alors la sentence contre les rebelles : « Selon les jours que vous avez mis à explorer le pays, quarante jours – autant de jours, autant d’années – vous porterez la peine de vos fautes quarante années, et vous saurez ce que c’est que mon aversion » (Nombres 14, 34). (à suivre…)

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