La vie vaut la peine d'etre vecue
La vie vaut la peine d'être vécue
Alors que le débat sur l'euthanasie est relancé dans divers pays, Luis de Moya, tétraplégique, répond aux questions que l'on peut se poser sur les conditions de vie d'une personne qui a perdu toute mobilité et toute sensibilité.Luis de Moya, prêtre de l’Opus Dei, a été victime d’un accident de la route en 1991. Il en est ressorti miraculeusement vivant, mais avec la deuxième vertèbre cervicale fracturée : il a perdu toute mobilité et toute sensibilité.
Se sentir aimé
Seize ans après son accident, il affirme avec douceur que « tout être humain a besoin d’une ambiance dans laquelle il puisse se sentir aimé, qu’il soit malade ou en bonne santé, qu’il soit jeune ou vieux, qu’il ait besoin d’une chaise roulante ou non. Se sentir compris et aidé par les autres est un besoin de l’homme. Nous avons des sentiments et du cœur, nous nous réjouissons des bonnes nouvelles des autres, et nous pleurons avec ceux qui pleurent. Les animaux ne pleurent pas, ils ne rient pas ; l’homme, oui ». (lire la suite)
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