La christianisation de la Gaule au Ier siècle (1)
I – Rapide exposé de la polémique
L’évangélisation des Gaules au
temps des Apôtres n’est pas une de ces théories historiques qu’on puisse
accuser d’innovation : ce fut, jusqu’au XVIIe siècle, la
tradition perpétuelle et immémoriale des Églises de France. Tous les documents
historiques des temps précédents et les monuments de la liturgie s’accordent à
nous montrer le Christianisme introduit dans les Gaules, dès le Ier siècle, par
trois groupes de missionnaires et par un certain nombre de prédications
individuelles. Saint Lazare, saint Maximin, sainte Marie-Madeleine et sainte
Marthe, partis de l’Orient quatorze ans après l’Ascension de Notre-Seigneur,
apportèrent en Provence les lumières de la foi. Vers la même époque, sept
missionnaires, envoyés par saint pierre, évangélisèrent plusieurs de nos
provinces : saint Trophime s’arrêta à Arles, saint Martial à Limoges,
saint Austremoine à Clermont, saint Paul à Narbonne, saint Saturnin à Toulouse,
saint Gatien à Tours, saint Valère à Trèves. Plus tard, sait Denis, envoyé par
le pape saint Clément, vint de Rome à Lutèce, tandis que ses compagnons et ses
disciples fondèrent d’autres sièges épiscopaux : saint Rieul à Senlis,
saint Julien au Mans, saint Lucien à Beauvais, saint Saintain à Meaux, saint
Taurin à Évreux, nous voyons apparaître,
etc.
En dehors de ces trois groupes
principaux, à des époques diverses, mais avant le IIIe siècle, saint
Crescent à Vienne, saint Benigne à Dijon, saint Sabinien à Sens, saint Sixte à
Reims, saint Memmie à Châlons, saint Sinice à Soissons, saint Clément à Metz,
saint Front à Périgueux, saint Eutrope à saintes, saint Pothin et saint Irénée
à Lyon, etc. On pourrait bien signaler quelques divergences d’opinion sur tel
ou tel de ces personnages, mais la croyance était uniforme sur le fait capital
de l’introduction du Christianisme au Ier siècle. Ce fut Jean de
Launoy, de docteur en Sorbonne dont Adrien de Valois nous a tracé un si triste
portrait, qui essaya, le premier, de faire table rase des traditions qui
pouvaient revendiquer seize siècles de possession ininterrompue. Le sentiment
de réaction contre le moyen âge, qui dominait alors, assura le succès des
opuscules de Launoy[1],
et un grand nombre d’écrivains catholiques, à l’exemple des Jansénistes,
souscrivirent au système d’un écrivain que ses opinions hérétiques avaient fait
exclure de la Sorbonne, et qui n’eut pas moins de vingt-neuf ouvrages condamnés
par la Congrégation de l’Index.
Les réformateurs de bréviaires
introduisirent peu à peu dans la liturgie les innovations chronologiques
qu’avaient acceptées et patronnées des érudits de premier ordre, tels que
Tillemont, Dom Calmet, Fleury, les deux de Valois, Ellies Du Pin, Dom Rivet,
Denys de Sainte-Marthe, le Père Longueval, Baillet, les Bollandistes et la
plupart des Bénédictins. Toutefois, il faudrait bien se garder de croire que
l’ancienne opinion traditionnelle ne conserva point de partisans ; ils
furent beaucoup plus nombreux qu’on ne le suppose communément. Les uns, tel Dom
Boudonnet[2], Pierre de Marca[3], Ouvrard[4], Bullet[5], Maceda[6], composèrent des ouvrages
spéciaux pour combattre les doctrines historiques de Launoy ; les autres,
tels que Baronius, Bellarmin, Noël Alexandre, Sponde, les deux Pagi, Mabillon,
Claude Robert, Dom Doublet, Gretser, le Père Lequien, Dom Liron, A. du Saussay,
etc., affirmèrent plus d’une fois dans leurs écrits leur conviction motivée en
faveur de l’évangélisation des Gaules au Ier siècle.
Les écrivains de la province sont
toujours restés moins accessibles que ceux de Paris à l’influence de la mode,
dont l’empire s’étend sur les questions d’érudition aussi bien que sur les
frivolités de la vie : nous pourrions en citer un grand nombre qui sont
restés fidèles à la croyance que proclamait saint Bossuet dans son Discours
sur l’Histoire universelle : L’Église naissante replissait toute la
terre, et non-seulement l’Orient, mais encore l’Occident ; outre l’Italie,
les provinces d’Espagne, les diverses nations des Gaules, la Germanie, la
Grande-Bretagne[7]. »
À côté des écrivains qui
affirmaient nettement leur opinion, il y en eut qui hésitèrent et ne
franchirent point les limites l’Art de vérifier les dates, « il y a
bien de l’apparence que c’est à saint Clément et non à saint Fabien[8] qu’on doit rapporter la
mission des premiers évêques des Gaules ». Tillemont lui-même, si
affirmatif en certains points, se trouve obligé d’exprimer sa perplexité :
« Nous ne voyons rien », dit-il, « qui empêche absolument de
croire que saint Luc et saint Crescent ont prêché la foi dans les Gaules. »
Nous pourrions citer des hésitations du même genre de la part du père Labbe, de
Dom Vaissette, d’Honoré de Sainte-Marie, de Papebrock et de bien d’autres.
Cette question avait longtemps
sommeillé, quand elle fut remise à l’ordre du jour par le savant ouvrage de M.
l’abbé Faillon[9].
Une forte réaction d’opéra dès lors en faveur des antiques traditions qu’avait combattues
la critique rigoriste du XVIIe siècle, et la science contemporaine
s’empressa de réviser le procès que leur avait intenté Launoy. M. l’abbé
Arbellot[10],
M. l’abbé Darras[11], M.
Charles Salmon[12],
M. le chanoine Robitaille[13], M. l’abbé Richard[14], M. l’abbé Gordière[15], etc., ont démontré
l’antiquité de nos origines chrétiennes par une foule de preuves qui ont pu
être contestées, mais non pas réfutées. Il ne suffisait point de reprendre en
sous-œuvre la question générale ; il était nécessaire de concentrer les recherches
sur chacun des principaux missionnaires apostoliques auxquels nos ancêtres ont
dû les premières lumières de la foi. ¨Plusieurs des écrivains que nous venons
de citer[16]
sont entrés dans cette voue, qu’ont parcourue également MM. l’abbé Maxime Latou[17], l’abbé de Lutho[18], l’abbé Dion[19], l’abbé Bougaud[20], l’abbé Pergot[21], l’abbé Blond[22], l’abbé Rolland[23], le Père Gouilloud[24], etc.
Des études analogues ont été
poursuivies, avec les mêmes conclusions chronologiques, par beaucoup de ceux
qui se sont occupés spécialement des origines historiques de nos diocèses[25], de l’hagiographie locale[26], de l’hagiographie
générale[27],
et de l’histoire de l’Église[28].
L’opinion contraire compte encore
beaucoup de partisans, mais il faut reconnaître qu’elle n’a produit, pour
s’affirmer, qu’un nombre fort restreint de livres et de brochures[29]. Nous voyons bien çà et
là des assertions très-catégoriques à ce sujet, mais nous craignons que leurs
auteurs n’aient pas toujours approfondi la question. Une étude moins sommaire
aurait peut-être eu pour résultat le revirement d’idées qui s’est produit à cet
égard chez plus d’un savant. Nous nous bornerons à citer M. Paulin Pâris et M.
Augustin Thierry. Ce dernier écrivait à M. l’abbé Arbellot : « J’ai
lu avec un vif intérêt votre Mémoire sur la date de l’apostolat de saint
Martial. Je crois que vous avez pleinement raison, et qu’en ce pont la
tradition locale prévaut réellement contre l’histoire. La méthode que vous
appliquez à cette démonstration me semble irréprochable ;je ne doute pas
qu’elle ne soit appréciée par tous les vrais érudits[30]. » M. Paulin Pâris
qui, dans un célèbre rapport à l’Académie des inscriptions, avait considéré le mouvement
qui se produisait dès lors en faveur des origines apostoliques, comme un étrange
retour aux idées du XIe siècle, s’exprime ainsi dans son
excellente édition de l’Histoire littéraire de la France (t. 1er, p.
441) : « Nous avouons avoir professé longtemps le sentiment de
Tillemont sur les origines asiatiques du Christianisme ; mais les nouveaux
arguments présentés par les soutiens de l’opinion contraire nous ont
complètement amené à une conviction différente. Rome, où le Christianisme
faisait chaque jour de nouveaux progrès depuis le règne de Néron ; Rome,
qui avait déjà fait subir de grandes persécutions aux chrétiens ; Rome
avait des rapports trop immédiats, trop continuels avec la Gaule, pour que les
prêtres et les confesseurs n’eussent pas passé fréquemment dans cette pépinière
de rhéteurs, de philosophes, de grammairiens, qui ne cessaient d’aller ou de
venir de Rome à Lyon, Arles, Marseille, Toulouse, Nîmes, Narbonne. Non, cela
nous paraît aujourd’hui moralement impossible ; car nos grandes cités vivaient
de la vie, des sentiments, des mœurs de la Rime impériale. Et supposer que le
Christianisme, qui avait déjà envahi la Germanie et l’Espagne, n’eût pas assez
de retentissement pour que le bruit en arrivât en Gaule, c’est aller contre
Sénèque, Pline et Tacite ; c’est fermer les yeux à la lumière de
l’histoire. »
Une des considérations qui ont le
plus activité la répudiation du système de Launoy[31], c’est l’universalité et
la constance des traditions qui régnèrent jusqu’au XVIIe siècle,
dans les Églises de France, sur l’époque où vécurent leurs premiers fondateurs.
Les injures adresses aux
partisans de Grégoire de Tours n’auraient point seulement pour inconvénient de
gâter inutilement de bonnes raisons, elles pourraient aussi excuser, jusqu’à un
certain point, des dédains immérités que nous prodiguent quelques-uns d’entre
eux. Il est un de ces reproches ironiques contre lequel nous éprouvons le
besoin de protester : c’est le nom d’école légendaire que
nous infligent nos adversaires, en se donnant la qualification d’école historique.
On voudrait faire croire par là que nous nous appuyons uniquement sur les
traditions que contiennent les légendes du moyen âge. Assurément, nous
invoquons leur autorité, quand leurs récits nous paraissent dignes de
foi ; mais, dans la question générale qui nous occupe, nous pouvons produire
de nombreux témoignages d’historiens. Nous voulons même laisser de côté ceux du
moyen âge et ne faire parler que des écrivains qui ne soient point postérieurs
au VIe siècle. par là même qu’ils sont contemporains de Grégoire de
Tours ou antérieurs à cet annaliste, ils auront plus de force pour réfuter le
célèbre passage qui constitue le principal argument de nos contradicteurs.
Qu’un ne s’attende point à trouver beaucoup d’imprévu dans nos citations, ni
beaucoup de nouveauté dans nos arguments. Tout en y mettant un peu du nôtre,
nous voulons, avant tout, grouper dans un ordre méthodique et dans un cadre
restreint, ce qu’on dit de mieux sur cette matière les nombreux ouvrages que
nous avons indiqués plus haut, et qu’il devient inutile de renommer ici. Toutefois,
nous devons mentionner spécialement Maceda, parce que bien peu de personnes ont
pu consulter l’important écrit de ce jésuite espagnol[32]. On n’en connaît en
France qu’un seul exemplaire, conservé à la riche bibliothèque de l’abbaye de
Solesmes. Le révérendissime abbé de ce monastère, Dom Guéranger, a bien voulu
nous le confier : nous ne saurions trop lui témoigner notre reconnaissance
pour cette mesure exceptionnelle, l’une des plus précieuses marques de l’amitié
dont il veut bien nous honorer.
[1] Dissertatio in qua
Dionysii parisiensis et Dionysii areopagitæ discrimen ostenditur. – Responsionis
ad dissertationem de duobus Dionysiis discussio. – De commentitio Lazari
et Maximi, Magdalenæ et Marthæ in Provinciam appulsu. – Dissertatio qua
locus historiæ Gregorii Turonensis vindicatur a multis erroribus. – Dissertatio
qua Sulpici Severi locus de prima martyrum epocha vindicatur. – De primi
Cennomanorum præsuli epocha.
[2] Réfutation des trois
dissertations de M. Jean de Launoy contre les missions apostoliques dans les
Gaules, au Ier siècle, 16553.
[3] De tempore prædicatæ
primum in Gallias fidei, 1658.
[4] Défense de l’ancienne
tradition des Églises de France sur la mission des premiers prédicateurs
évangéliques, 1678.
[5] De apostolica ecclesiæ gallicanæ origine, 1752.
[6] De celeri propagatione Evangelii in universo mundo, 1798.
[7] Bossuet dit encore sans
son Discours sur l’unité de l’Église : « À la suite de Rome, et par
elle, tout l’Occident est venu à Jésus-Christ, et nous y sommes venus des
premiers ; … c’est vous, Seigneur, qui excitâtes saint Pierre et ses successeurs
à nous envoyer, dès les premiers temps, les évêques qui ont fondé nos
Églises. » M. Tailliar (Origines du Christianisme) se félicite
« de suivre l’opinion de tant d’écrivains éminents qui fixent au IIIe
siècle l’introduction du Christianisme dans les Gaules ». Chateaubriand
s’exprime ainsi dans ses Études historiques (1ère partie, de
Jules César à Decius) : « Pierre envoya des missionnaires en Sicile,
en Italie, dans les Gaules et sur les côtes de l’Afrique. Saint Paul arrivait à
Éphèse lorsque Claude mourut et il catéchise lui-même dans la Provence et les
Espagnes. »
[8] Saint Fabien est pape de
236 à 250 (NdÉ).
[9] Monuments inédits sur
l’apostolat de sainte Marie-Madeleine en Provence et sur les autres apôtres de
cette contrée, saint Lazare, sainte Marthe, saint Maximin, etc., 2 vol.
in-8°.
[10] Dissertation sur
l’apostolat de saint Martial et sur l’antiquité des Églises de France. – Documents
inédits sur l’apostolat de saint Martial et sur l’antiquité des Églises de
France.
[11] Saint Denis
l’Aréopagite ; Étude sur les origines chrétiennes des Gaules.
[12] Recherches sur
l’époque de la prédication de l’Évangile dans les Gaules et la Picardie.
[13] Coup d’œil sur l’poque
de la prédication de l’Évangile dans la Gaule-Belgique et la Grande-Bretagne.
[14] Origines chrétiennes
de la Gaule et date de saint Firmin, contre Tillemont, MM. Dufour, Tailliar,
Salmon, Obanos, etc.
[15] Recherches sur la
prédication de l’Évangile dans les Gaules au 1er siècle
[16] Ch. Salmon, Histoire
de saint Firmin, martyr. – Robitaille, Vie de saint Paul Serge,
fondateur de l’Église de Narbonne, etc.
[17] Vie de saint Saturnin,
disciple de saint Pierre.
[18] Vie de saint Ursin,
apôtre du Berri.
[19] Apostolat de saint
Front au 1er siècle.
[20] Étude historique et
critique sur la mission, les actes et le culte de sain Bénigne, apôtre de la
Bourgogne.
[21] Histoire de saint
Front, apôtre et premier évêque de Périgueux.
[22] Recherches sur la date
de l’apostolat de saint Rieul.
[23] Dissertation sur
l’apostolat de saint Gatien.
[24] Saint Pothin et ses
compagnons.
[25] Dom Piolin, Histoire
de l’Église du Mans. – L’abbé Barrère, Histoire du diocèse d’Agen. –
L’abbé Charbonnel, Origine de l’Église de Mende. – Le Père Gaydou, Études
critiques sur l’origine de l’Église de Mende. – Ravenez, Recherches sur
les origines des Églises de Reims, de Soissons et de Châlons. – Condert de
Lavillate, Le Christianisme dans l’Aquitaine. – Brilloin, Note sur
l’introduction du Christianisme en Saintonge. – L’abbé Do, Origines
chrétiennes du pays Bessin. – L’abbé Tapin, Les Traditions du diocèse de
Bayeux ; la Science et la Tradition. – De Bernoville, Mélanges
concernant l’évêché de Saint-Papoul. – L’abbé Cirot de la Ville, Origines
chrétiennes de Bordeaux. – Jehan de Saint-Clavier, Origine apostolique
de l’Église de Metz. – L’abbé Frugère, Apostolicité de l’Église du Velay.
– L’abbé Guillaume, Histoire du diocèse de Toul, etc.
[26] De Chergé, Vie des
Saints du Poitou. – L’abbé Auber, Vie des Saints de l’Église de Poitiers.
– L’abbé Nadal, Histoire hagiographique du diocèse de Valence. – L’abbé
Destombes, Vie des Saints des diocèses de Cambrai et d’Arras. – L’abbé
Sabatier, Vie des Saints du diocèse de Beauvais. – L’abbé Vaa Drival, Hagiographie
diocésaine (Arras), etc.
[27] Les nouveaux Bollandistes
et spécialement Acta S. Florentii au 16 octobre – Ch. Barthélemy, Annales
hagiographiques de France. – Mgr Paul Guérin, Vie des Saints, etc.
[28] L’abbé Rochbacher, Histoire
universelle de l’Église catholique. – L’abbé Blanc, Cours d’histoire
universelle. – L’abbé Darras, Histoire générale de l’Église. – Le
baron Henriou, Histoire générale de l’Église (dernière édition). –
L’abbé Jager, Histoire de l’Église catholique en France. – L’abbé
Freppel, Saint Irénée et l’éloquence chrétienne pendant les deux premiers
siècles. – Mgr Regnault, Histoire des premiers siècles de l’Église.
– Bonnetty, divers articles dans les Annales de philosophie, etc.
[29] L’abbé Pascal, Gabalum
christianum ; et Défense de l’ancienne tradition de l’Église de
Mende sur saint Sévérien. – L’abbé Salvan, Histoire de saint Saturnin ou
Recherches historiques et critiques sur l’apostolat et le martyre de ce Saint.
– Du Méril, Recherches historiques sur l’établissement de la religion
chrétienne dans le diocèse de Bayeux. – J. Lair, Origines de l’évêché de
Bayeux. – De Belloguet, Origines dijonnaises. – Huillard-Brétholles,
Les origines du christianisme en Gaule, article inséré dans la Revue contemporaine,
septembre 1866. X. d’Ouzouville, Origines chrétiennes de la Gaule. – J.
Desnoyers, Topographie ecclésiastique de la France pendant le moyen âge.
– Tailliar, Essai sur les origines et les développements du Christianisme
dans les Gaules. – Anonyme, Défense de saint Grégoire de Tours, par
un membre de la Société archéologique de Touraine. – L’abbé Bourassé, Les
Origines de l’Église de Tours. – L’abbé Bernard, Les Origines de
l’Église de Paris.
[30] Lettre citée par M.
Arbellot dans ses Documents inédits sur saint Martial.
[31] La doctrine de
l’établissement de la fi dans les Gaules aux temps apostoliques tend de ^lus en
plus à être l’opinion dominante dans le clergé français, dit M. Desnoyers,
membre du Comité impérial des travaux historiques, dans la Revue des
Sociétés savantes, n° de février 1866.
[32] De celero Propagatione Evangelii in universo mundo libri
tres, auctore Michaelo-Josepho Maceda, presb. Bononiæ
MDCCIIC, ex Typographia Sancti Thomæ Aquinatis, superiorum permissu, in4°.
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