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lundi 27 octobre 2025

La christianisation de la Gaule au Ier siècle (1)

Nous reproduisons ici l'article de Jules Corblet, Origines de la foi chrétiennes dans les Gaules et spécialement dans le docèse d'Amiens, paru en 1870, qui réfute, preuves à l'appui, l'historiographie officielle faisant remonter la christianisation des Gaules au IIIe siècle après Jésus-Christ.

I – Rapide exposé de la polémique

 

L’évangélisation des Gaules au temps des Apôtres n’est pas une de ces théories historiques qu’on puisse accuser d’innovation : ce fut, jusqu’au XVIIe siècle, la tradition perpétuelle et immémoriale des Églises de France. Tous les documents historiques des temps précédents et les monuments de la liturgie s’accordent à nous montrer le Christianisme introduit dans les Gaules, dès le Ier siècle, par trois groupes de missionnaires et par un certain nombre de prédications individuelles. Saint Lazare, saint Maximin, sainte Marie-Madeleine et sainte Marthe, partis de l’Orient quatorze ans après l’Ascension de Notre-Seigneur, apportèrent en Provence les lumières de la foi. Vers la même époque, sept missionnaires, envoyés par saint pierre, évangélisèrent plusieurs de nos provinces : saint Trophime s’arrêta à Arles, saint Martial à Limoges, saint Austremoine à Clermont, saint Paul à Narbonne, saint Saturnin à Toulouse, saint Gatien à Tours, saint Valère à Trèves. Plus tard, sait Denis, envoyé par le pape saint Clément, vint de Rome à Lutèce, tandis que ses compagnons et ses disciples fondèrent d’autres sièges épiscopaux : saint Rieul à Senlis, saint Julien au Mans, saint Lucien à Beauvais, saint Saintain à Meaux, saint Taurin à Évreux,  nous voyons apparaître, etc.

En dehors de ces trois groupes principaux, à des époques diverses, mais avant le IIIe siècle, saint Crescent à Vienne, saint Benigne à Dijon, saint Sabinien à Sens, saint Sixte à Reims, saint Memmie à Châlons, saint Sinice à Soissons, saint Clément à Metz, saint Front à Périgueux, saint Eutrope à saintes, saint Pothin et saint Irénée à Lyon, etc. On pourrait bien signaler quelques divergences d’opinion sur tel ou tel de ces personnages, mais la croyance était uniforme sur le fait capital de l’introduction du Christianisme au Ier siècle. Ce fut Jean de Launoy, de docteur en Sorbonne dont Adrien de Valois nous a tracé un si triste portrait, qui essaya, le premier, de faire table rase des traditions qui pouvaient revendiquer seize siècles de possession ininterrompue. Le sentiment de réaction contre le moyen âge, qui dominait alors, assura le succès des opuscules de Launoy[1], et un grand nombre d’écrivains catholiques, à l’exemple des Jansénistes, souscrivirent au système d’un écrivain que ses opinions hérétiques avaient fait exclure de la Sorbonne, et qui n’eut pas moins de vingt-neuf ouvrages condamnés par la Congrégation de l’Index.

Les réformateurs de bréviaires introduisirent peu à peu dans la liturgie les innovations chronologiques qu’avaient acceptées et patronnées des érudits de premier ordre, tels que Tillemont, Dom Calmet, Fleury, les deux de Valois, Ellies Du Pin, Dom Rivet, Denys de Sainte-Marthe, le Père Longueval, Baillet, les Bollandistes et la plupart des Bénédictins. Toutefois, il faudrait bien se garder de croire que l’ancienne opinion traditionnelle ne conserva point de partisans ; ils furent beaucoup plus nombreux qu’on ne le suppose communément. Les uns, tel Dom Boudonnet[2], Pierre de Marca[3], Ouvrard[4], Bullet[5], Maceda[6], composèrent des ouvrages spéciaux pour combattre les doctrines historiques de Launoy ; les autres, tels que Baronius, Bellarmin, Noël Alexandre, Sponde, les deux Pagi, Mabillon, Claude Robert, Dom Doublet, Gretser, le Père Lequien, Dom Liron, A. du Saussay, etc., affirmèrent plus d’une fois dans leurs écrits leur conviction motivée en faveur de l’évangélisation des Gaules au Ier siècle.

Les écrivains de la province sont toujours restés moins accessibles que ceux de Paris à l’influence de la mode, dont l’empire s’étend sur les questions d’érudition aussi bien que sur les frivolités de la vie : nous pourrions en citer un grand nombre qui sont restés fidèles à la croyance que proclamait saint Bossuet dans son Discours sur l’Histoire universelle : L’Église naissante replissait toute la terre, et non-seulement l’Orient, mais encore l’Occident ; outre l’Italie, les provinces d’Espagne, les diverses nations des Gaules, la Germanie, la Grande-Bretagne[7]. »

À côté des écrivains qui affirmaient nettement leur opinion, il y en eut qui hésitèrent et ne franchirent point les limites l’Art de vérifier les dates, « il y a bien de l’apparence que c’est à saint Clément et non à saint Fabien[8] qu’on doit rapporter la mission des premiers évêques des Gaules ». Tillemont lui-même, si affirmatif en certains points, se trouve obligé d’exprimer sa perplexité : « Nous ne voyons rien », dit-il, « qui empêche absolument de croire que saint Luc et saint Crescent ont prêché la foi dans les Gaules. » Nous pourrions citer des hésitations du même genre de la part du père Labbe, de Dom Vaissette, d’Honoré de Sainte-Marie, de Papebrock et de bien d’autres.

Cette question avait longtemps sommeillé, quand elle fut remise à l’ordre du jour par le savant ouvrage de M. l’abbé Faillon[9]. Une forte réaction d’opéra dès lors en faveur des antiques traditions qu’avait combattues la critique rigoriste du XVIIe siècle, et la science contemporaine s’empressa de réviser le procès que leur avait intenté Launoy. M. l’abbé Arbellot[10], M. l’abbé Darras[11], M. Charles Salmon[12], M. le chanoine Robitaille[13], M. l’abbé Richard[14], M. l’abbé Gordière[15], etc., ont démontré l’antiquité de nos origines chrétiennes par une foule de preuves qui ont pu être contestées, mais non pas réfutées. Il ne suffisait point de reprendre en sous-œuvre la question générale ; il était nécessaire de concentrer les recherches sur chacun des principaux missionnaires apostoliques auxquels nos ancêtres ont dû les premières lumières de la foi. ¨Plusieurs des écrivains que nous venons de citer[16] sont entrés dans cette voue, qu’ont parcourue également MM. l’abbé Maxime Latou[17], l’abbé de Lutho[18], l’abbé Dion[19], l’abbé Bougaud[20], l’abbé Pergot[21], l’abbé Blond[22], l’abbé Rolland[23], le Père Gouilloud[24], etc.

Des études analogues ont été poursuivies, avec les mêmes conclusions chronologiques, par beaucoup de ceux qui se sont occupés spécialement des origines historiques de nos diocèses[25], de l’hagiographie locale[26], de l’hagiographie générale[27], et de l’histoire de l’Église[28].

L’opinion contraire compte encore beaucoup de partisans, mais il faut reconnaître qu’elle n’a produit, pour s’affirmer, qu’un nombre fort restreint de livres et de brochures[29]. Nous voyons bien çà et là des assertions très-catégoriques à ce sujet, mais nous craignons que leurs auteurs n’aient pas toujours approfondi la question. Une étude moins sommaire aurait peut-être eu pour résultat le revirement d’idées qui s’est produit à cet égard chez plus d’un savant. Nous nous bornerons à citer M. Paulin Pâris et M. Augustin Thierry. Ce dernier écrivait à M. l’abbé Arbellot : « J’ai lu avec un vif intérêt votre Mémoire sur la date de l’apostolat de saint Martial. Je crois que vous avez pleinement raison, et qu’en ce pont la tradition locale prévaut réellement contre l’histoire. La méthode que vous appliquez à cette démonstration me semble irréprochable ;je ne doute pas qu’elle ne soit appréciée par tous les vrais érudits[30]. » M. Paulin Pâris qui, dans un célèbre rapport à l’Académie des inscriptions, avait considéré le mouvement qui se produisait dès lors en faveur des origines apostoliques, comme un étrange retour aux idées du XIe siècle, s’exprime ainsi dans son excellente édition de l’Histoire littéraire de la France (t. 1er, p. 441) : « Nous avouons avoir professé longtemps le sentiment de Tillemont sur les origines asiatiques du Christianisme ; mais les nouveaux arguments présentés par les soutiens de l’opinion contraire nous ont complètement amené à une conviction différente. Rome, où le Christianisme faisait chaque jour de nouveaux progrès depuis le règne de Néron ; Rome, qui avait déjà fait subir de grandes persécutions aux chrétiens ; Rome avait des rapports trop immédiats, trop continuels avec la Gaule, pour que les prêtres et les confesseurs n’eussent pas passé fréquemment dans cette pépinière de rhéteurs, de philosophes, de grammairiens, qui ne cessaient d’aller ou de venir de Rome à Lyon, Arles, Marseille, Toulouse, Nîmes, Narbonne. Non, cela nous paraît aujourd’hui moralement impossible ; car nos grandes cités vivaient de la vie, des sentiments, des mœurs de la Rime impériale. Et supposer que le Christianisme, qui avait déjà envahi la Germanie et l’Espagne, n’eût pas assez de retentissement pour que le bruit en arrivât en Gaule, c’est aller contre Sénèque, Pline et Tacite ; c’est fermer les yeux à la lumière de l’histoire. »

Une des considérations qui ont le plus activité la répudiation du système de Launoy[31], c’est l’universalité et la constance des traditions qui régnèrent jusqu’au XVIIe siècle, dans les Églises de France, sur l’époque où vécurent leurs premiers fondateurs.

Les injures adresses aux partisans de Grégoire de Tours n’auraient point seulement pour inconvénient de gâter inutilement de bonnes raisons, elles pourraient aussi excuser, jusqu’à un certain point, des dédains immérités que nous prodiguent quelques-uns d’entre eux. Il est un de ces reproches ironiques contre lequel nous éprouvons le besoin de protester : c’est le nom d’école légendaire que nous infligent nos adversaires, en se donnant la qualification d’école historique. On voudrait faire croire par là que nous nous appuyons uniquement sur les traditions que contiennent les légendes du moyen âge. Assurément, nous invoquons leur autorité, quand leurs récits nous paraissent dignes de foi ; mais, dans la question générale qui nous occupe, nous pouvons produire de nombreux témoignages d’historiens. Nous voulons même laisser de côté ceux du moyen âge et ne faire parler que des écrivains qui ne soient point postérieurs au VIe siècle. par là même qu’ils sont contemporains de Grégoire de Tours ou antérieurs à cet annaliste, ils auront plus de force pour réfuter le célèbre passage qui constitue le principal argument de nos contradicteurs. Qu’un ne s’attende point à trouver beaucoup d’imprévu dans nos citations, ni beaucoup de nouveauté dans nos arguments. Tout en y mettant un peu du nôtre, nous voulons, avant tout, grouper dans un ordre méthodique et dans un cadre restreint, ce qu’on dit de mieux sur cette matière les nombreux ouvrages que nous avons indiqués plus haut, et qu’il devient inutile de renommer ici. Toutefois, nous devons mentionner spécialement Maceda, parce que bien peu de personnes ont pu consulter l’important écrit de ce jésuite espagnol[32]. On n’en connaît en France qu’un seul exemplaire, conservé à la riche bibliothèque de l’abbaye de Solesmes. Le révérendissime abbé de ce monastère, Dom Guéranger, a bien voulu nous le confier : nous ne saurions trop lui témoigner notre reconnaissance pour cette mesure exceptionnelle, l’une des plus précieuses marques de l’amitié dont il veut bien nous honorer.



[1] Dissertatio in qua Dionysii parisiensis et Dionysii areopagitæ discrimen ostenditur. – Responsionis ad dissertationem de duobus Dionysiis discussio.De commentitio Lazari et Maximi, Magdalenæ et Marthæ in Provinciam appulsu. – Dissertatio qua locus historiæ Gregorii Turonensis vindicatur a multis erroribus. – Dissertatio qua Sulpici Severi locus de prima martyrum epocha vindicatur. – De primi Cennomanorum præsuli epocha.

[2] Réfutation des trois dissertations de M. Jean de Launoy contre les missions apostoliques dans les Gaules, au Ier siècle, 16553.

[3] De tempore prædicatæ primum in Gallias fidei, 1658.

[4] Défense de l’ancienne tradition des Églises de France sur la mission des premiers prédicateurs évangéliques, 1678.

[5] De apostolica ecclesiæ gallicanæ origine, 1752.

[6] De celeri propagatione Evangelii in universo mundo, 1798.

[7] Bossuet dit encore sans son Discours sur l’unité de l’Église : « À la suite de Rome, et par elle, tout l’Occident est venu à Jésus-Christ, et nous y sommes venus des premiers ; … c’est vous, Seigneur, qui excitâtes saint Pierre et ses successeurs à nous envoyer, dès les premiers temps, les évêques qui ont fondé nos Églises. » M. Tailliar (Origines du Christianisme) se félicite « de suivre l’opinion de tant d’écrivains éminents qui fixent au IIIe siècle l’introduction du Christianisme dans les Gaules ». Chateaubriand s’exprime ainsi dans ses Études historiques (1ère partie, de Jules César à Decius) : « Pierre envoya des missionnaires en Sicile, en Italie, dans les Gaules et sur les côtes de l’Afrique. Saint Paul arrivait à Éphèse lorsque Claude mourut et il catéchise lui-même dans la Provence et les Espagnes. »

[8] Saint Fabien est pape de 236 à 250 (NdÉ).

[9] Monuments inédits sur l’apostolat de sainte Marie-Madeleine en Provence et sur les autres apôtres de cette contrée, saint Lazare, sainte Marthe, saint Maximin, etc., 2 vol. in-8°.

[10] Dissertation sur l’apostolat de saint Martial et sur l’antiquité des Églises de France. – Documents inédits sur l’apostolat de saint Martial et sur l’antiquité des Églises de France.

[11] Saint Denis l’Aréopagite ; Étude sur les origines chrétiennes des Gaules.

[12] Recherches sur l’époque de la prédication de l’Évangile dans les Gaules et la Picardie.

[13] Coup d’œil sur l’poque de la prédication de l’Évangile dans la Gaule-Belgique et la Grande-Bretagne.

[14] Origines chrétiennes de la Gaule et date de saint Firmin, contre Tillemont, MM. Dufour, Tailliar, Salmon, Obanos, etc.

[15] Recherches sur la prédication de l’Évangile dans les Gaules au 1er siècle

[16] Ch. Salmon, Histoire de saint Firmin, martyr. – Robitaille, Vie de saint Paul Serge, fondateur de l’Église de Narbonne, etc.

[17] Vie de saint Saturnin, disciple de saint Pierre.

[18] Vie de saint Ursin, apôtre du Berri.

[19] Apostolat de saint Front au 1er siècle.

[20] Étude historique et critique sur la mission, les actes et le culte de sain Bénigne, apôtre de la Bourgogne.

[21] Histoire de saint Front, apôtre et premier évêque de Périgueux.

[22] Recherches sur la date de l’apostolat de saint Rieul.

[23] Dissertation sur l’apostolat de saint Gatien.

[24] Saint Pothin et ses compagnons.

[25] Dom Piolin, Histoire de l’Église du Mans. – L’abbé Barrère, Histoire du diocèse d’Agen. – L’abbé Charbonnel, Origine de l’Église de Mende. – Le Père Gaydou, Études critiques sur l’origine de l’Église de Mende. – Ravenez, Recherches sur les origines des Églises de Reims, de Soissons et de Châlons. – Condert de Lavillate, Le Christianisme dans l’Aquitaine. – Brilloin, Note sur l’introduction du Christianisme en Saintonge. – L’abbé Do, Origines chrétiennes du pays Bessin. – L’abbé Tapin, Les Traditions du diocèse de Bayeux ; la Science et la Tradition. – De Bernoville, Mélanges concernant l’évêché de Saint-Papoul. – L’abbé Cirot de la Ville, Origines chrétiennes de Bordeaux. – Jehan de Saint-Clavier, Origine apostolique de l’Église de Metz. – L’abbé Frugère, Apostolicité de l’Église du Velay. – L’abbé Guillaume, Histoire du diocèse de Toul, etc.

[26] De Chergé, Vie des Saints du Poitou. – L’abbé Auber, Vie des Saints de l’Église de Poitiers. – L’abbé Nadal, Histoire hagiographique du diocèse de Valence. – L’abbé Destombes, Vie des Saints des diocèses de Cambrai et d’Arras. – L’abbé Sabatier, Vie des Saints du diocèse de Beauvais. – L’abbé Vaa Drival, Hagiographie diocésaine (Arras), etc.

[27] Les nouveaux Bollandistes et spécialement Acta S. Florentii au 16 octobre – Ch. Barthélemy, Annales hagiographiques de France. – Mgr Paul Guérin, Vie des Saints, etc.

[28] L’abbé Rochbacher, Histoire universelle de l’Église catholique. – L’abbé Blanc, Cours d’histoire universelle. – L’abbé Darras, Histoire générale de l’Église. – Le baron Henriou, Histoire générale de l’Église (dernière édition). – L’abbé Jager, Histoire de l’Église catholique en France. – L’abbé Freppel, Saint Irénée et l’éloquence chrétienne pendant les deux premiers siècles. – Mgr Regnault, Histoire des premiers siècles de l’Église. – Bonnetty, divers articles dans les Annales de philosophie, etc.

[29] L’abbé Pascal, Gabalum christianum ; et Défense de l’ancienne tradition de l’Église de Mende sur saint Sévérien. – L’abbé Salvan, Histoire de saint Saturnin ou Recherches historiques et critiques sur l’apostolat et le martyre de ce Saint. – Du Méril, Recherches historiques sur l’établissement de la religion chrétienne dans le diocèse de Bayeux. – J. Lair, Origines de l’évêché de Bayeux. – De Belloguet, Origines dijonnaises. – Huillard-Brétholles, Les origines du christianisme en Gaule, article inséré dans la Revue contemporaine, septembre 1866. X. d’Ouzouville, Origines chrétiennes de la Gaule. – J. Desnoyers, Topographie ecclésiastique de la France pendant le moyen âge. – Tailliar, Essai sur les origines et les développements du Christianisme dans les Gaules. – Anonyme, Défense de saint Grégoire de Tours, par un membre de la Société archéologique de Touraine. – L’abbé Bourassé, Les Origines de l’Église de Tours. – L’abbé Bernard, Les Origines de l’Église de Paris.

[30] Lettre citée par M. Arbellot dans ses Documents inédits sur saint Martial.

[31] La doctrine de l’établissement de la fi dans les Gaules aux temps apostoliques tend de ^lus en plus à être l’opinion dominante dans le clergé français, dit M. Desnoyers, membre du Comité impérial des travaux historiques, dans la Revue des Sociétés savantes, n° de février 1866.

[32] De celero Propagatione Evangelii in universo mundo libri tres, auctore Michaelo-Josepho Maceda, presb. Bononiæ MDCCIIC, ex Typographia Sancti Thomæ Aquinatis, superiorum permissu, in4°.

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