Les effets de la contraception chimique
Les effets de la contraception chimique
Pour ceux qui en doutent encore, c'et une étude conduite par l'OMS qui a montré que la méthode Billings présente un indice de conception comparable aux « meilleures » pilules et est compréhensible par 93% des femmes, quelles que soient leurs conditions socioculturelles. L'exemple politique le plus célèbre de prise en compte de ces résultats est la mesure du gouvernement indien qui confia à la Congrégation des missionnaires de la charité fondée par Mère Térésa l'instruction des jeunes femmes avec cette méthode. (lire la suite)A contrario, la pilule, que l'on présentait il y a peu comme la fine pointe de l'arsenal contraceptif moderne, enregiste un taux d'« échec » qui inquiète de nombreux observateurs malgré une diffusion massive. Laisser dans l'ombre la rigueur scientifique et les résultats de la régulation naturelle des naissance est une faute majeure au regard des méfaits de mieux en mieux documentés concernant la contraception chimique. Fait indiscutable, elle augmente de 20% le risque de cancer du sein dont la prévalence a crû ces dernières années en France ; ce produit est classé désormais dans les cancérigènes de type I. Qui s'en est inquiété ? Le professeur Joyeux a calculé que « l'ingestion d'une pilule contraceptive faiblement dosée apportait chaque jour la même quantité que celle contenue dans 100 kg de foie de veau aux hormones ». Les femmes en sont-elles informées ?
Pierre-Olivier Arduin, « Humanae vitae : l'encyclique réhabilitée », Liberté politique, n° 42, septembre 2008, p. 128-129.
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