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dimanche 20 juin 2010

Confiance en Dieu (2)

Confiance en Dieu (2)

« C’est en Dieu, dont je loue la promesse, c’est en Dieu que je cherche refuge : que peut me faire un mortel ? » (Psaume 56, 5). « J’espère en Yahvé, mon âme espère en sa parole. Mon âme attend le Seigneur plus que les veilleurs l’aurore » (Psaume 130, 5-6). David peut entendre en réponse cette parole d’encouragement qui est toute une promesse de Dieu : « Je ne te laisserai pas ni ne t’abandonnerai. En sorte que nous pouvons dire avec reconnaissance : Le Seigneur est mon secours : je ne craindrai pas. Que peut me faire un homme ? » (Hébreux 13, 5-6). Voilà un raisonnement sain, surnaturel, objectif. Telle doit être notre conviction. (lire la suite) Encore une fois, on pourrait nous ôter violemment la vie. Qu’importe de mourir si c’est mourir pour Dieu. « Il n’est pas de disciple qui soit au-dessus de son maître » (Luc 6, 40). « S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront, vous aussi » (Jean 15, 20). Mais « Yahvé est avec moi, je ne crains rien : que peuvent me faire les hommes ? Yahvé est avec moi, il est mon secours : aussi je verrai la ruine de mes ennemis » (Psaume 118, 6-7). David peut attendre à bon droit un renversement de situation : « Yahvé est avec moi, il est mon secours ». « Même quand je marche dans une vallée pleine d’ombre, je ne crains aucun mal » (Psaume 23, 4).Cette affirmation est le fruit d’une longue expérience : « Mieux vaut chercher un refuge en Yahvé que de mettre sa confiance dans les hommes » (Psaume 118, 8). En toute vérité, « ainsi parle Yahvé : Maudit soit l’homme qui se confie en l’homme, qui prend la chair pour son secours, et dont le cœur s’écarte de Yahvé » (Jérémie 17,5) du même coup et nécessairement. En revanche, « béni soit l’homme qui se confie en Yahvé : Yahvé répondra à sa confiance » (Jérémie 17, 7).
« Que peut me faire un mortel ? » (Psaume 56, 5). Ma foi, il peut bien me mettre à mort. C’est ce que David craint précisément. C’est bien pour cela qu’il est allé frapper à la porte de ses ennemis, qu’il craint moins que ceux de sa propre famille ! C’est troublant. Cela reste la règle chez certains. Nous voyons, hélas, que le pape est plus critiqué et plus couvert de crachats par certains catholiques que par des non croyants. C’est le mystère de l’iniquité à l’œuvre Le cheval de Troie dans la place. Les sbires du diable qui en veulent au nouveau David et n’ont de cesse de vilipender celui qui est leur père, notre père commun. Ils scient la branche sur laquelle ils sont assis…

(à suivre…)

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